العنصر: على بنكيران أن يقبل بحزب الوردة لتفادي أي ارتباك في المستقبل

في الوقت الذي اصر فيه اﻻحرار والحركة الشعبية والاتحاد الدستوري على ابعاد حزب الاستقلال يطالبون بضم الاتحاد الاشتراكي فلماذا لايتم فتح الأغلبية على حزب الاستقلال لتكون اكثر انفتاحا وراحة؟؟؟؟؟؟؟؟

انا من راي اضافة المعاصرة و الاستقلال لكي تكون حكومة قوية لمواجهة الشعب واضعاف المعارضة من اجل افراغ الخزينة بسرعة و لكم واسع النظر

لك الله يا مسكين وعاش الملك أما الأحزاب طازة وصل في كل شي عاق بهم

LA QUADRATURE DU CERCLE Je tiens à préciser que je suis marocain d’abord, que je suis berbère rifain (*) ensuite, et qu’en fin je suis contre toute forme de régionalisme ‘’régional’’, ethnique ou autre. (*) Je m’excuse auprès mes compatriotes de le dire car je me sens petit et minable quand je fais référence à mon ethnicité Lachgar est aussi un berbère bien qu’il soit né à Rabat. Avant les législatives de 2016, il ne cessait de répéter qu’il ne se présentera pas aux élections et qu’il consacrera entièrement son temps pour, disait-il, redresser la triste situation dans laquelle il a mis son parti. Complètement faux. Notre politicien est un avocat aguerri. Il connait toutes les ficelles de la politique et il a appris, par cœur, tous les labyrinthes du droit pour tenter de faire d’une cause perdue une réussite éclatante. Il a dit se retirer des législatives, seulement, quand il a vu ses chances de les remporter quasi nulles. Les habitants du quartier Al Mohit de Rabat ont appris à le connaître, eux aussi, par cœur. Qu’a-t-il fait ? Il avait l’intention de se porter candidat à Chtouka-Aït Baha, quand il s’est rappelé que son père est originaire de cette localité. Il y a même mené une ‘’expédition’’ exploratoire pour sonder les pensées de ses cousins proches et lointains. Rien à y faire ; il s’est rendu compte qu’il n’est ni connu ni reconnu ni bienvenu. Bredouille, il a rebroussé chemin et Il s’en est allé s’inscrire à la circonscription de Rabat-Chellah pour brouiller les pistes. Il y a été battu à plate couture par le PAM et le PJD. En fait, à quoi je veux en venir ? Je veux, tout simplement, démontrer la quadrature du cercle qui a tant dérangé les mathématiciens depuis l’antiquité. J’y suis arrivé grâce, donc, à trois mousquetaires régionalement homogènes et à un intrus, lui aussi, Zaîm de parti (C’est lui qui le dit) qui, à part leur appartenance ethnique, n’ont rien de commun ni en politique ni dans la vie (*). (*) : L’un est un Master en gestion des affaires. OK ; c’est le minimum minimorum pour devenir ministre, il l’a déjà été et il l’est. Il peut aspirer, après plusieurs années de bizutage, au poste de chef de gouvernement. Présentement, il n’en ni la stature ni la carrure (politique, j’entends), car un portefeuille bien garni ne mène pas nécessairement à un portefeuille de chef de gouvernement. Le second (Cas atypique) est avocat et possède donc, lui aussi, le minimum minimorum requis pour devenir ministre. Mais il doit attendre son tour, assez longtemps, pour pouvoir prétendre au poste de chef de gouvernement. La connaissance des labyrinthes du droit et l’expertise dans la pose des peaux de bananes ne sont toujours pas suffisants. Le troisième est énarque à la marocaine. Il a déjà occupé plusieurs postes ministériels et possède une expérience respectable, mais actuellement, il met son expérience et celle de son parti à la disposition d’un débutant d’un autre parti au lieu de s’allier, au moins, à un égal ou à plus fort que lui pour maintenir son parti dans la course et aspirer au poste de chef de gouvernement. Le quatrième, cas et atypique bis, mais exceptionnel aussi, car sa biographie est tronquée quant à son parcours scolaire comme celle de Bouteflika. C.-à-d., il a un diplôme de ‘’Ma Qarich’’ dans la spéculation foncière et l’appropriation terrienne. Il a à son palmarès quelques réussites quand il était président de la commune urbaine de Casablanca mais il reste redevable à cette ville de plusieurs affaires floues qui restent à éclaircir. Alors, avec un si léger bagage, prétendre à devenir ministre ou chef de gouvernement est tout simplement le comble de la politique où tout est possible sauf la logique. Les intentions du quatuor qui ont passé outre leurs principes politiques très contradictoires sont dérangeantes. Ils se sont positionnés sur les quatre sommets d’un cercle dont la quadrature, je l’avoue, est difficile à cerner. Pire, ils ne sont pas que quatre. Dans chacune de leurs actions, ils ne perdent jamais de vue un cinquième cas atypique ter, exceptionnel et hors du commun et dont la biographie est aussi légère et muette que celle du quatrième cas quant à son parcours scolaire. Ils ont déjà posé les jalons de repérage sur leur labyrinthe politique commun. Ils ne s’arrêtent jamais. Ils enchainent en tissant leur toile d’araignée autour de qui de droit en commençant par le parlement pour s’accaparer et du beurre et de l’argent du beurre. Mais où vont-ils mettre la cinquième roue quand les quatre sommets du cercle carré sont déjà occupés. Simple. Un cercle carré est défini par ses quatre sommets et son centre, alors notre compère sera placé au centre. Alors, le carré servira de base élargie à l’intérieur du gouvernement (comme ne se lasse pas de le répéter le porte-parole du quintette) et le centre du cercle carré jouera le rôle de pivot à l’intérieur du parlement. Voilà, mes chers compatriotes ; je ne prétends pas que ma démonstration a abouti à la démonstration mathématique de la quadrature du cercle ; mais je suis arrivé, quand même, à brosser les caractéristiques d’un cercle vicieux excentrique qui ressemble énormément à un cercle ethnocentrique dangereux. Remarque : je ne fais partie ni des phalanges numériques du PJD ni des milices numériques du quintette décrit ci-haut. Et Al Hamdou li’llah.

ابعاد الاستقلال......وفرض دخول الا شتراكيين ؟

على العنصر ان لا يشوش على رئيس الحكومه ، فهو الذي اختاره الشعب وعينه الملك، واذا كان العنصر يريد الخير للبلد وللحزب وحتى لنفسه فعليه ان يترك الحزب بشرف. فلا يجب على العداء ان يبقى في الحلبه حتى يحتل الصفوف الاخيره هذا رأيي ولله أعلم.